Un jeu qui tourne mal

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il y a 13 ans

UN JEU QUI TOURNE MAL

Par TSM

 

 

Préface

Depuis quelque temps, nous jouons au poker avec des amis. Comme nous sommes des couples assez libres, nous avons corsé nos soirées en jouant au strip-poker. Après avoir abusé du champagne, nous avons décidé d’aller un peu plus loin en nous infligeant de petits gages érotiques.

………………………….

Paul, mon petit ami, m’avait proposé par le passé de pratiquer l’échangisme avec nos amis, je m’y étais opposée n’osant pas sauter le pas. Récemment, il m’a sermonnée un peu en me disant que je devrai par gentillesse pour nos amis et pour lui, être un peu moins mesquine dans mes propos. En effet, j’ai une chance insolente aux jeux et, je triche un peu si besoin est. 

Comme je gagne très souvent, je ne suis pas avare de commentaires corrosifs et de gages, pour les autres ! Pour exemple, j’ai rajouté la fessée dans notre boite à gages. Paul en a reçu une devant nous. Episode douloureux pour lui, amusant pour nous. Ce soir là, je me suis moqué de lui, un peu trop peut-être …..

Une partie est programmée chez nous ce samedi, après un dîner restaurent. Je me suis habillée avec un magnifique ensemble assorti, bas résilles noirs, porte jarretelles, string et mini soutien-gorge. J’ai choisi une robe très échancrée et de petits gants fins. Je suis très provocante au possible chaussée de hautes bottes qui m’arrivent sous les genoux. Paul, me dit lorsqu’il me voit ainsi vêtue : « Tu es si belle et tellement désirable, qu’une envie profanatrice se diffuse en moi ! »

Emporté par son désir, il me serre fortement dans ses bras. Ses doigts s’insinuent sous ma robe pour quelques caresses macho sur mes fesses.

  • Attend un peu ou tu vas recevoir une fessée comme la semaine dernière !

  • Un jour il pourrait t’en cuire si tu continues à jouer la provoc !

  • Des promesses, des promesses, toujours des promesses ! 

 

La soirée au restaurent est fort agréable, nous faisons un coin de table pour les filles et un pour les hommes. Les regards envieux qui se posent sur moi, me font particulièrement plaisir. En effet, du haut de mes 30 printemps, cheveux châtain très clair à la limite du blond, je suis particulièrement en beauté et la plus belle du restaurent.

 

Le champagne aidant, nous commençons à rigoler entre filles. A ma gauche, il y a Martine. Elle  est grande et BCBG en public, mais dans les soirées, c’est un peu différent. Elle nous propose de rajouter des gages dans nos jeux. Les hommes acceptent. Chacun pouvant en rajouter une, nous avons demandé du papier et noté nos pensées érotiques.

A ma droite, Sophie, mon amie d’enfance qui est grande et mince. Ses longs cheveux bruns sont magnifiques. Elle me demande discrètement si j’ai un gode à la maison, devant ma réponse positive, elle me murmure «  imagines-tu nos hommes avec ça dans le cul ? » J’éclate de rire.

Martine me dit en confidence ce qu’elle a rajouté comme gage. « Passer l’aspirateur en petite tenue du sexe opposé. »

Je rigole doucement et lui confie que cela va être particulièrement amusant comme gage si un de nos hommes perd.

Emportées par nos délires et abandonnant toute pudeur, j’écris mon idée sur un bout de papier. Comme j’aime bien les pinces à linge sur les tétons, je décide qu’elles feront partie des gages le temps d’une donne. Nous rions comme des folles et sans retenue.

«  Alors les filles, que nous avez-vous préparé comme vacherie ? »

« Si on vous le dit, cela ne sera plus une surprise et vous seriez capables de refuser par manque de courage ! »

  • Nous ne vous dirons donc pas nos gages et je vous propose ce soir de jouer « no limit. » Si l’un d’entre vous refuse son gage, tout en restant raisonnable, nous pourrons la contraindre par la force. Soit vous nous dites ce que vous avez prévu comme nouveaux gages, soit vous acceptez cette règle.  !

Dit Paul qui gardait en mémoire la fessée cuisante de la semaine précédente ainsi que mes commentaires désobligeants.

Les filles hésitent, je les pousse à accepter cette proposition, forcément me direz-vous, je gagne toujours ou triche si besoin est.

Arrivé à la maison, pendant que nous installons le tapis de jeu et les cartes. Paul, aidé par ses deux copains, fait le service et nous continuons au champagne.

Nous jetons nos papiers dans la boite alors que Paul place le sien sous la boite. Nous l’incendions et le traitons de tricheur !

Les hommes nous répondent que cela fait parti des gages et que celui-là ne doit pas être mis dans la boite. Nous refusons catégoriquement, mais ils nous rappellent que nous avons accepté le « no limit » et qu’ils ont accepté nos gages sans savoir ce que nous avons décidé.

Le jeu commence. Martine s’oppose fermement à Paul, elle doit avoir un bon jeu et lui aussi. Nous décidons d’abandonner et de les laisser jouer à deux. Nous retirons donc un vêtement   ( chaussure au singulier ) tandis qu’eux doublent la mise. Nous les encourageons à miser plus gros, ils ne baissent pas la garde et passe aux surenchères en misant deux gages. La partie s’annonce chaude, je suis toute émoustillée.

 

Lorsqu’ils abaissent leurs cartes, Martine perd et doit tirer deux gages tandis que Paul jubile. Elle doit passer sous la table pour embrasser les pieds de tous les participants pour le premier gage et devra passer l’aspirateur nue pour le deuxième quand la partie sera terminée. Provocante comme à mon habitude, je me plais à dire qu’elle devrait venir deux ou trois fois par semaine pour faire le ménage dans cette tenue. Cela fait rire tout le monde sauf elle qui me lance un regard me laissant à penser qu’elle n’a pas apprécié mon humour.

La donne suivante m’est favorable, je m’amuse comme une folle. Erice, l’ingénieur au crane légèrement dégarni, demande une seule carte. Je suis sûre qu’il bluffe. Je le pousse à la surenchère, il n’hésite pas une seconde moi non plus. Nous abaissons les cartes. Et M……. !

Il a un carré de rois et moi trois dames et une paire. Je suis furieuse ! Il tire deux gages, je suis moins fière que je ne l’affiche.

« Ton petit clitoris sera sûrement gonflé et brûlant de désir avant la fin de la soirée, car tu dois retirer ta culotte et jouer fesses nues toute la soirée pour le premier gage. Pour le deuxième, tu dois faire la danse du ventre sur la table ! Bien entendu, après avoir retiré ton protège minette ! »

Une bouffée de chaleur due à la honte monte à mon visage. Quelle C….. ! Je m’exécute donc et retire mon string. Provocante pour combler ma gêne, je le fais tourner sur mon doigt pendant que j’exécute un semblant de danse du ventre sur «  Fruit de la passion » de Francki Vincent. Un zouk très suggestif «  Chérie tu me donnes ta passion et je trouve ça fabuleux »

Ils rigolent à chaque phrase de la chanson, moi aussi car les commentaires humoristiques sont torrides.

Le jeu se poursuit et les vêtements tombent. Comme je triche et gagne, je retrouve ma superbe et lance : « On se croirait au printemps ! »

«  Pourquoi le printemps ? »

« Parce qu’à cette saison, les arbres s’habillent et les femmes se déshabillent ! »

Franche rigolade distrayant Sophie qui doit avoir un meilleur jeu que le mien, j’en profite pour tricher. Forcément, je gagne. Je tire son gage et lui demande si elle s’est déjà fait épingler. Devant ma question, son sourire se fige ! La donne suivante elle a une de mes pinces à linge à chaque téton. Je vais être ignoble je sais mais c’est trop drôle.

 

« Ma chère Sophie, je vois que tu réfléchis, serais-tu en train de sécher ? »

Tout le monde rigole, sauf elle évidemment qui me lance « La vengeance est un plat qui se mange froid ! »

La donne suivante, Paul se fait étaler par Sophie qui tire son gage. Paul doit passer sous la table déposer des baisers sur les culottes des joueurs. Je suis un peu jalouse lorsqu’il passe entre les jambes de Sophie et de Martine mais bon, c’est le jeu. Avec les filles, nous le taquinons de bon cœur lorsqu’il doit passer entre les jambes de ses copains. Lorsqu’il est entre les miennes, comme je n’ai plus de string depuis le début du jeu, il s’insinue sous ma robe et tente de me grignoter le clitoris. Pour masquer ma gêne et le limiter dans son entreprise je fais encore de l’humour. Je l’attrape par les oreilles en lançant : « Ah ! Ces jeunots, ils ne savent pas se tenir, heureusement que je suis là pour l’éduquer le mien ! » Les filles se lèvent, viennent voir et éclatent de rire. Paul enrage de mes railleries. 

 

Martine perd contre Eric qui tire le gage de la générale fessée cul nul. Quand mon tour vient, je lui en administre une plutôt corsée. A la fin du gage, ses rondeurs ont une jolie couleur pivoine, à l'éclat encore rehaussé par l'éclairage des spots allogènes.

Eric perd contre Paul. Il se retrouve nu avec mon tablier de cuisine pendant le temps du jeu suivant. Il va de soit, que je demande à la soubrette du moment, d’aller me chercher un verre d’eau à la cuisine. Comme l’eau n’est pas assez fraîche à mon goût, je claque son fessier en lançant : «  Le personnel masculin de nos jours, n’est plus à la hauteur de nos exigences ! »  

Laurent le cycliste plutôt baraqué, perd contre Sophie son épouse. Lorsqu’elle tire le gage du gode, elle éclate de rire. Je suis assez étonnée lorsqu’il accepte sous nos acclamations de se le placer dans son petit anneau. Je subodore fortement que c’est une activité érotique qu’ils pratiquent dans l’intimité.

Finalement la plus gênée c’est moi. En effet, il me demande si j’ai de la vaseline. Cela va dévoiler mon intimité avec mon cher et tendre. Pour combler ma gêne, je vais demander à Paul d’aller la chercher et cherche rapidement un jeu de mot : «  Ton copain le roi de la pédale du tour de France réclame de la vaseline ! Accours ou il va devoir changer de baraqué pardon de braquet ! »

Tout le monde rigole sauf Laurent. Paul me lance un drôle de regard. Un regard de conspirateur que je ne comprends pas. J’aime l’humour, il devra s’y faire !

Les filles perdent encore des vêtements et assument quelques gages.

Nous avions décidé de stopper la partie à 1 heure du matin. Tandis que Martine passe l’aspirateur nue, nous sirotons une dernière coupe. Lorsque je commence à la charrier, elle s’adresse aux hommes et leur demande : « La surprise du gagnant, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? »

Eric lui suggère de terminer le ménage avant d’aller la chercher. Je m’interroge sur ce qu’ils appellent une surprise ! Elle termine son gage, soulève le pot de la pioche à gage et sort un papier avec un sourire de louve. Je vois les yeux des hommes s’allumer et les filles affichent un drôle de sourire.

Martine lit à haute et intelligible voix : « celui ou celle qui aura gagné sera câliné(e) par tout le groupe qui lui fera l’amour. »

Outrée, je me lève d’un bond. Paul me guide fermement vers la table en chêne de la salle à manger et me pousse pour que je m’y allonge. Je refuse mais il me rappelle fermement que j’ai accepté les règles et que comme tout le monde a accepté mes délires je vais les vexer voire même les fâcher si je refuse. 

 

J’hésite, j’ai peur, j’ai envie, j’ai honte. Les hommes se lèvent et me forcent un peu à m’allonger sur le dos, tandis que les filles les encouragent. Comme je résiste, elles viennent à leur rescousse et me tiennent les bras tandis que Paul me force à écarter les jambes. Je résiste toujours et donne des coups de pieds, mais ses copains hésitants au début, sous les encouragements appuyés des filles et de Paul, se décident à lui venir réellement en aide.

Lorsque je suis sur la table, il y a encore un moment d’hésitation, Paul me rappelle les règles et les filles rajoutent que je ne les ai pas épargnés tout le long du jeu en me disant : « Nous avons accepté toutes tes folies, tu as accepté les règles, si tu refuses c’est que tu n’as pas d’honneur ! »

Les hommes m’attrapent les jambes et les écartent en me soulevant mes fesses, les filles les aident à remonter ma robe et à dévoiler mon intimité. Ils ont une vue plongeante sur mon minou épilé de frais et découvrent que je n’ai conservé qu’un tout petit triangle sur le dessus de mon pubis. Je suis blême de leurs remarques. Aussitôt, Eric plonge entre mes jambes, écarte mes lèvres et y dépose des baisers puis remonte grignoter mon clitoris tandis que les filles commencent à caresser ma poitrine. C’est la première fois qu’une fille me touche ! Là elles sont deux, leurs gestes sont sûrs et cela me fait tout drôle. Je comprends à leurs commentaires que ce n’est pas la première fois qu’elles pratiquent ce genre d’attouchement. Je suis très gênée, je gigote et tente de me sauver, mais elles me disent de me laisser faire et que j’ai beaucoup de chance….

Moi je ne l’entends pas de cette façon, mais je ne peux attendre de la compassion de la gente féminine puisque je les ai chargées dans les gages précédents. Les hommes se relaient pour déguster mon minou, cela commence à m’exciter mais j’ai aussi honte d’être ainsi exposée et caressée devant cinq personnes. Martine et Sophie demandent, elles aussi leur tour de baisers, les hommes lâchent mes jambes, je tente alors de me refermer et de quitter la table mais je suis rapidement stoppée dans ma tentative de fuite.

OUUUAAAOOUU, une fille qui déguste un minou, si pour moi c’est honteux, je dois avouer que c’est doux et agréable. Sophie prend le relais, je suis trempée au possible. Elle en profite pour faire entrer un doigt inquisiteur dans mon puits d’amour largement exposé et déguste mon clitoris comme une experte. Même si je suis blême une onde de chaleur me parcourt soudain.

Des deux mains elle m’écarte doucement mes globes fessiers et s'aventure de plus en plus loin dans la vallée, puis me fouille l’anus de la pointe de sa langue experte. J’ai honte, mais le plaisir gagne toutes les parties de mon corps, je suis prise d’une trouble sensation de volupté.

Martine prend le relais et s’acharne à me donner du plaisir, les hommes ont profité du changement pour remonter ma robe jusqu’à mon cou, me caressent puis dégustent ma poitrine en jouant à mordiller mes tétons. Si ma pudeur est mise à mal, je craque et m'abandonne malgré moi à la jouissance avec un long cri de bonheur.

Ils profitent de mon abandon pour changer de places et de rôles, les hommes tiennent mes jambes et les filles en siamoise fondent sur ma poitrine dans une même caresse étourdissante tout en me tenant les bras. Paul a du leur faire part de ses désirs d’échangisme et mon refus car nos amis sont trop attentionnés. Il aura la primeur de mon viol, viol consentant puisque j’ai accepté les règles du jeu. Je sens son gland entre mes lèvres, malgré ma gêne persistante, je ne suis plus que plaisir. Je suis plongée dans une confusion de sentiments contradictoires, honte, excitation, désir de fuite, désir de plus. 

Je crie « non », j’essaie encore de me soustraire, les hommes m’écartent fermement les jambes contre eux et plaquent mon dos sur la table les fesses bien accessibles.

Les mains serrent mon torse, mes bras, mes jambes et mes épaules. Je vais être prise devant tout le monde, c’est trop dur, je suis rouge de honte, mon cœur bat très vite et je sens mes jambes se ramollir mais en réalité je suis passablement émue par l'impudicité que l'on exige de moi. Le barreau de chair impétueux et exigeant fouine un peu entre mes lèvres pour trouver la porte et force lentement ma salle de réception.

Je le sens augmenter sa puissance de poussée pour me pénétrer davantage puis il se lance dans de grands galops. Je râle sous l’assaut, dans ce laisser-aller la contrainte édifie mon plaisir et une vague de chaleur s'empare de moi. Je ne fuis plus, je m’offre à lui mais il ralentit la cadence pour retarder sa jouissance puis se retire.

 

Avec horreur je vois qu’Eric va prendre sa place, son sexe est raide, avec un gros gland prêt à l’emploi.

Il s'insinue entre mes lèvres mouillées et s’enfonce en moi profondément. Lentement il commence ses mouvements je suis prise dans une tourmente d'émotions contradictoires, et incontrôlables. Paul vient m’embrasser tendrement pendant qu’Eric accélère son rythme provoquant une vague de chaleur qui irradie dans tout mon bas ventre. Mes espiègles amies continuent sereinement leur offensive déroutante. Elles pincent doucement mes tétons créant les prémices d’une tempête de plaisir. Peu à peu, je perds à nouveau ma contenance en écartant les jambes pour jouir encore plus intensément de ces asseaux infatigablement renouvelés.

 

Les filles parlent être-elles, mes bras sont tirés au-dessus de ma tête. Dans mon brouillard je vois Sophie qui rigole en attrapant mes poignets. Savourant pleinement sa vengeance, Martine se déshabille totalement, monte sur la table et s’agenouille au-dessus de ma tête offrant à ma vue un paysage nouveau pour moi, le sexe d’une autre femme. Bien que dans cette position ses cuisses soient déjà ouvertes, celle-ci les écarte de ses doigts, séparant encore les deux hémisphères avant que de s’asseoir complètement sur mon visage. Comme je reste un instant sans réaction, elle saisit mes tétons entre ses doigts et commence à les pincer légèrement. « Lèche-moi, comme ça quand je finirai ton ménage entièrement nue tout à l’heure, je sais que tu m’épargneras tes sarcasmes  sur mon anatomie, vu que tu l’auras dégustée.

Eric me prend avec une vigueur mais ses coups de hanches sont autant de caresses tandis que Martine me ramène à sa réalité en me pinçant fortement les tétons, je ne sais plus où donner de la tête. J’ouvre la bouche et commence à lécher son minou ruisselant pendant que les mains des hommes jouent un concerto à quatre mains sur mon intimité en se jouant des lèvres et de mon clitoris.

 

Je me noie dans le chaton de Martine et m’y m'abandonne. Son odeur, son goût me perturbent. Je perds toute retenue, je suis violée de partout mais ce qui est fou et torride c’est que je jouis comme une damnée.  

Je me glace quand une main part visiter mon sillon fessier. La position dans laquelle je suis l’expose à toutes les agressions. Mes cuisses fortement remontées m’interdisent de serrer les fesses, de me protéger du sexe qui visite ardemment ma vulve trempée d'émotion. Je sens un doigt se pointer sur mon anus qui s’ouvre bien malgré moi pour absorber l’intrus. Martine jouit sur moi dans un grand cri et laisse échapper sur mon visage un flot de cyprine. Je sens sur mon nez les contractions de son petit anneau et sur ma langue sa vulve qui se contracte. Emportée par la vague de jouissance, elle s’appuie fortement sur moi, je manque d’air, je suffoque.

Elle se relève enfin, se recule et m’embrasse ! Que de nouveautés pour moi ce soir ! Elle tient mon visage comme pour m'obliger à ce long baiser que je subis avec plaisir. Nos haleines se mêlent, nos bouches se dévorent, nos langues s'entremêlent.

Entre mes jambes les choses se précipitent, j’interromps le baiser pour regarder ce qu’il se passe, Laurent a pris place, son sexe est énorme. Il joue un instant entre mes lèvres trempées puis se positionne entre mes fesses. Je sens son gland contre mon petit anneau. NONNNN !

Tous les yeux sont posés sur moi, les filles s'appliquent par leurs propos rassurants et par quelques gestes bien placés à me maintenir dans un état d'excitation. Je résiste un peu, mais elles me disent que je n’ai pas le choix et mon adorable ami me dit : « je sais que tu n’es pas totalement opposée à une visite dans cette région, souvient toi, la dernière fois tu m’as dit avoir aimé. »

Je le déteste, il dévoile notre intimité, mon intimité. Les bras et les jambes toujours fermement tenus, je ne peux rien faire ni me dégager. Sophie monte à son tour sur la table offrant à mon regard son jardin secret. Elle se penche sur moi puis vient déguster mon petit clitoris. Martine tient mes mains au-dessus de ma tête et en profite pour me voler des baisers puis m’embrasser fermement. Je sens ma rosette s’ouvrir un peu, c’est légèrement douloureux. Sophie s’acharne en caresses sur mon clitoris chaque fois qu’il pousse son pieu en moi. Elle doit être aux premières loges, j’ai perdu définitivement toute mon intimité !

Il porte alors l’estocade et introduit sa longue pique d’une longue poussée lente mais ferme.

Je crie de petits « non non » mais rien n’y fait et les filles s’acharnent sur moi pour détourner mon attention.

L'obélisque prend place doucement dans mon rectum. Je savoure un instant le plaisir d'être complètement remplie de cette chair masculine bien tendue. Il entreprend un ample mouvement de va et vient dans mon étau de chair puis c’est la chevauchée qui commence..

Sa taille, sa grosseur, son agitation, sa démesure accélérèrent les battements de mon cœur. Clouée par cette colonne de chair, j’ai l’impression d’être une chienne en chaleur qui se fait saillir. Je craque totalement et pousse de petits cris à chaque mouvement.

Sur la table, Sophie en profite pour poser les lèvres lippues de son sexe trempé de plaisir sur ma figure. Je vais vraiment subir ce soir tout ce que je ne voulais pas vivre. Sous les asseaux de Laurent, mon esprit se trouve à nouveau vidé de toute volonté, ma langue fouille son intimité et part à la recherche de son bouton des plaisirs. Au bout de quelques instants il y a de l’agitation sur la table, je ne vois rien, les rondeurs de Sophie masquent le paysage.

 

Lorsqu’elle se soulève et se penche en avant, je découvre que Paul est totalement nu le sexe bien bandé à la main.

Il écarte les jambes pour le rapprocher de mon visage et le penche pour qu’il arrive à ma bouche. Tandis que je le prends entre mes lèvres et fait courir ma langue autour de son gland, les doigts de Sophie s’attaquent à mon clitoris. Laurent accélère encore son mouvement dans mon fondement. Je m'abîme encore une fois dans une longue jouissance entretenue par les mouvements de Laurent qui jouit en s’enfonçant profondément en moi.

Paul se retire de ma bouche, Sophie plaque à nouveau son minou trempé sur mon visage et le sexe de Paul se met à fouiller entre les rondeurs offertes à sa gourmandise. Ma gorge ne peut plus émettre le moindre mot tant un trouble profond me mine.

Là, à même sur mon visage il va me tromper, mais que puis-je dire avec ce que je viens de vivre ? Lentement il s’enfonce dans ses reins, plaque ses mains sur ses hanches et s’efforce de  remplir davantage ce précieux endroit. Sophie doit être une habituée de la sodomie car elle l’absorbe sans trop de difficultés, bien au contraire en s’offre à lui. Son geste quand elle se cambre, a pour conséquences de plaquer les lèvres de son sexe dégoulinant de plaisir contre ma bouche. Lorsque le sexe de Paul est au plus profond de son étroit conduit, ses couilles velues cognent sur mon front. Lentement mais sûrement il va et vient en elle, mes narines jubilent des fragrances variées de l’amour.

Je viens de réagir aux nouveaux changements en cour entre mes jambes, cela doit être Eric, qui veut sa part de viol collectif. Il me prend sans ménagement mais cela glisse tout seul je n’ai pas mal bien au contraire.

Passant de mon minou à mes fesses, Eric se déchaîne. Sa jouissance doit être proche, mon cerveau est en ébullition, je n'arrête plus de m'offrir à cette délicieuse souffrance qui me fait vibrer de partout. Je déguste le clitoris de Sophie telle une folle comme si cela pouvait s’opposer aux sensations ressenties. Je ne sais plus, je ne sais pas qui je suis, ce que je ressens, ce que je fais, c’est trop difficile à décrire. Pendant que Paul la prend, elle laisse courir ses doigts sur mon bouton des plaisirs, tel un raz-de-marée incontrôlable je sens encore le désir monter irrésistiblement en moi.

Une onde transperce mes reins et c'est un troisième orgasme qui m’électrise m'amenant au paroxysme du plaisir, tandis qu’Eric continue ses mouvements, pire les accélère encore ! C’est bien trop fort comme sensation, la bouche grande ouverte je laisse échapper de longs cris sans interruption.

Le va-et-vient de Paul est rapide et saccadé, ce qui produit un bruit de claquement contre les fesses de Sophie qui s’appuie à chaque fois un peu plus sur ma bouche gourmande.

 

Soudain Eric se retire de mon fondement, je l’entends crier son plaisir, aux mouvements des cheveux qui frottent mon intimité, je suppose qu’il vient de jouir dans la bouche de Sophie.

Paul se libère à son tour dans un grand gémissement, il s’agrippe aux anches de Sophie comme s’il voulait entrer totalement en elle. Ma tête coincée entre leurs cuisses, de mes yeux écarquillés je vois la peau des bijoux de famille de mon cher et tendre se contracter. Un peu jalouse, je plante mes dents sur le sexe de Sophie. L’effet attendu n’est pas, au lieu de crier, elle me met à jouir et abandonne sur mon visage un flot de cyprine. 

Lorsque nous nous dégageons, je suis partagée entre la gêne et l'envie irrésistible de recommencer qui m’envahit mon esprit. Paul me sourit et vient m’embrasser tendrement. Il m’aide à m’asseoir sur le canapé, nos amis me disent que pour une première j’ai été extraordinaire.

Tel est pris qui croyait prendre.

La morale de cette histoire, est qu’il n’est pas bien de tricher, quoi que ……..

 

TSM  

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